Depuis quelques jours, une rumeur court sur internet : dans la matinée du vendredi 10 janvier, leMobilier national en charge de l’aménagement des palais nationaux et autres résidences de l’État (ministères et ambassades) a été appelé en urgence à l’Élysée pour procéder à une intervention sur site. À l’arrivée au Palais, le haut fonctionnaire découvre un carnage. En effet, dans certains salons et dans le bureau attribué à François Hollande, du mobilier et des objets décoratifs tels que vases précieux de Sèvres, pendule de grand horloger, consoles, guéridons, fauteuils ont été renversés voire brisés. Mais également des garnitures de cheminée gisant en morceaux au milieu de papiers et de matériel de bureau, le dessus de la table de travail ayant été balayé avec violence semble-t-il.
Les dégâts sont estimés à trois millions d’euros, compte tenu de la grande valeur patrimoniale de ce mobilier d’art et du coût de la restauration pour ce qui est réparable. Valérie Trierweiler aurait piqué une crise de nerf : voulant se jeter sur notre cher président François Hollande, elle aurait été empêchée par le service de sécurité et celle-ci se serait vengée sur le mobilier. Affaire à suivre !